du yerba maté pour tous les goûts
Originaire de la forêt tropicale sud-américaine, le Yerba Maté est consommé depuis des siècles pour son effet stimulant. Brio à réussi à rendre le maté, qui est à la base un produit de niche, accessible au grand public. Le maté a un goût amer et herbal, il ne convient pas à tout le monde. Ils ont donc pris cette plante saine et bio et l'ont adaptée aux goûts européens tout en l’intégrant dans le domaine des boissons énergisantes. Une recette alimentaire ne peut pas être brevetée. Mais dans ce secteur, Brio à ouvert une nouvelle verticale : un produit faible en sucres, sain, sans alcool, produit localement, biologique et distribué dans un emballage recyclable, le tout dans une série de parfums. La nouveauté, c’est de répondre à tous ces critères-là, dans le domaine de l’énergie et du maté. Et le tout en bio.
A la tête de Brio Maté, Jeremy Girard a toujours été attentif à la qualité de son alimentation. Aussi, lorsqu'il découvre le yerba maté, c'est pour lui une révélation ! Jeremy s'est associé à deux amis avec lesquels il a développé toute une gamme de boissons fraîches, pour faire découvrir au plus grand monde les vertus du maté.
« Nous avons trouvé un partenaire qui pouvait débuter avec des petites quantités »
Jeremy qui est Brio Maté ?
Chez Brio Maté nous produisons du maté, une boisson originaire de la forêt tropicale sud-américaine, consommée depuis des siècles pour son effet stimulant. Comme le café, c’est une boisson riche en caféine aux propriétés énergisantes, mais qui ne donne pas de sensation de nervosité ou d’énervement. Et contrairement aux autres boissons énergisantes du marché, nos produits contiennent beaucoup moins de sucre.
Quelle est l’histoire derrière la création de la marque ?
Il y a trois ans, tout au début de la vague du maté en Suisse et après avoir expérimenté avec nos recettes dans notre cuisine, nous sommes partis à la recherche d’une entreprise qui pourrait nous aider à réaliser une première série de bouteilles. Notre volonté dès le départ était de rester une marque locale et artisanale, mais avec une ambition globale. Avec Biofruits et le Drinklab, nous avons trouvé un partenaire qui nous a aidé dans l’industrialisation de notre produit et qui a été d’accord de commencer avec des petites quantités.
Quels sont vos plus gros challenges ?
Dans le quotidien d’un entrepreneur il y en a tellement, c’est difficile de choisir lesquels. Je dirais d’arriver à avoir un produit de bonne qualité et qui soit stable. Un autre axe c’est la distribution: comment trouver des vendeurs qui comprennent notre produit et savent le promouvoir, le placer auprès des clients et distributeurs.
De quoi êtes-vous le plus fier ?
Ma plus grande satisfaction, c’est d’avoir réussi à créer un produit que les gens aiment. Un concept qui plaît. Et puis également être parvenu à entrer (et surtout rester) chez des grands distributeurs comme Manor ou Migros.
Quels seraient vos conseils à quelqu'un qui souhaiterait se lancer dans la production d’une boisson ?
Il faut se lancer, y aller, tout en faisant attention au “wishful thinking”. Externaliser ce qui peut l’être pour limiter les coûts fixes et les risques au départ. Aller chercher un maximum de feedbacks auprès des clients, savoir s’entourer et demander autant d’aide que possible.”Think big, but start small”.
Quelle est la prochaine étape, le prochain développement au sein de l'entreprise ?
En Suisse, développer la Suisse romande dans son ensemble. En parallèle, nous préparons notre entrée sur le marché français avec des bouteilles produites localement dans le pays, toujours fidèles à nos valeurs. Nous sommes maintenant en discussion avec des investisseurs pour financer la prochaine phase de notre développement.